Don Juan ou Pervers narcissique ? Le symbolisme existant entre ces deux termes est un mysticisme pour l’un et une pathologie pour l’autre.
Après une rupture amoureuse il arrive que certains séducteurs profitent de la situation... Apprenez à reconnaître les pervers narcissiques.
Sa description met en évidence un bel homme, habile et qui grâce à ses nombreuses dispositions défie la morale, l’ordre public et Dieu tel qu’il est décrit dans Le Don Juan de Molière. Il n’a qu’un seul but satisfaire son égo.
Les psychanalystes expliquent que le pervers narcissique est un séducteur. Son désir est la seule chose qui compte, il a besoin d’anéantir pour exister, la manipulation est son art favorite. Le pervers ne connaît pas l’amour, il joue avec les émotions sans état d’âme. Il s’attaque d’ailleurs aux personnes qui donnent de l’amour, ensuite il les écrase. Si sa proie tente de s’échapper, il emploie des stratagèmes afin de la récupérer. Cette dernière arrivant même à culpabiliser de la situation.
Il faut d’abord les reconnaître. Tout commence par des propos qui paraissent anodins mais blessants. Il prend peu à peu le dessus avec certaines exigences tout en sachant que ce n’est pas votre nature. Exemple : « Chéri, tu veux bien me faire plaisir et faire… pour moi». Seule sa volonté a de l’importance. Ce que vous désirez ou pensez lui importe peu. Il n’en tient compte qu’au moment où il sent que son emprise décline.
La victime, c’est vous. Vous créez la situation par manque de confiance en vous. Vous devez réagir « Est-ce l’existence que je veux mener? ».
Si ce n’est pas le cas PARTEZ, courez vite. Le pervers narcissique sais séduire les femmes et a besoin de vous et de votre substance vitale pour exister, car il en est dépourvu, tel l’électricité vous êtes son énergie.
La peur d’être seul, de ne pas être heureux (se) ou de ne pas pouvoir vivre sans ce manipulateur vous paralyse dans une relation destructrice. Cet état d’esprit est votre opinion, à aucun moment ce n’est la réalité. Le courage de surpasser est votre meilleure arme. Le tortionnaire verra son piège se refermer sur lui.
Personne n’a le droit de vous dire quoi faire, comment penser, agir ou parler. Vous êtes le seul maître à bord. Donc prenez la barre de votre vie et diriger vous vers les contrées que vous aurez choisi.